La kinésithérapie est une pratique réputée pour le traitement de handicap moteur, de retard moteur chez les enfants, des problèmes respiratoires et des bébés prématurés au sein des fonctions de néonatologies. Elle a également prouvé son efficacité chez les sportifs dans la récupération de la forme et en tant que massages. Bien que cette pratique effective vient de voir le jour, la Sécurité sociale indemnise une partie de ce traitement. Comment cette pratique a-t-elle évolué au cours des années ?
Un métier avec un statut réel
Le métier de masseur kinésithérapeute date de 1946. Lorsque la Seconde Guerre mondiale prend fin, le système sanitaire prend forme. Et avec elle, le métier de masseur kinésithérapeute et simultanément la Sécurité sociale. Ce métier devient progressivement connu dans les années 50 et 70. Mais la kinésithérapie est avant tout gymnique et ne devrait être indiqué que par un rhumatologue ou un chirurgien orthopédique. Avec le temps, les endroits qui proposent la kinésithérapie et son cadre se sont amplifiés.
Une progression jusqu’à l’amplification des capacités
Vu que la kinésithérapie se développe, apprendre cette discipline a pris deux ans de plus depuis 1970. Cette année marque également le début de la coordination entre le métier de kinésithérapeute et celles de rééducation dans les établissements hospitaliers. Actuellement, une étude de kiné vous prendra au total 5 ans, soit une année en faculté de médecine et 4 années de plus dans une école conçu pour l’apprentissage de cette pratique.
Quand le décret du 26 août 1985 fut prononcé, les kinésithérapeutes bénéficient formellement d’une amplification de leur capacité. Cette discipline reçoit en même temps un numerus clausus tandis que le nombre de professionnels dans ce milieu va au-delà des 2700 durant l’année également. Cela indique que le nombre de kinésithérapeutes qui sont formés est égal à ce chiffre.